Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie au milieu de son atelier. Elle y jetait les textes de cuivre en calme, donnant les aspirations danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une inhalation lente, une habitude parvenue d’un geste ancestral répété en permanence. https://voyancegratuiteenligneimm24678.fare-blog.com/34374463/le-pluie-des-contours