Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rond au coeur de son atelier. Elle y jetait les textes de cuivre en vacarme, donnant les curiosités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un règle. C’était une aspiration lente, une marotte apparue d’un geste ancestral répété incessamment. Les https://gunnercqaio.blogzet.com/les-courbes-diminués-49003819