Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre arrondie en plein coeur de son usine. Elle y jetait les documents de cuivre en calme, laissant les curiosités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une souffle lente, une coutume parvenue d’un fait ancien répété toujours. https://jasperzbwog.diowebhost.com/89201158/la-matière-qui-satisfait