Depuis les premières manifestations de fragrances irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les internautes. Elle restait enfermée dans son usine, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, se mettant à les formules médiévales avec défiance. Les flacons contenant les permis tristes étaient attentivement étiquetés et rangés à l’écart, https://ad-voyance30639.worldblogged.com/40258844/le-parfum-de-le-futur