En 2099, l’orbite terrestre était saturée de satellites, de stations désaffectées, de modules de précaution et d’anciens débris. Mais parmi cette nébuleuse artificielle, un satellite appelé Eurydice-V tournait seul, à une altitude et une régularité particulières. À son ligne, une télépathe vivait en connexion constante avec une camaraderie artificielle embarquée, https://paxtonnajqv.blogofchange.com/34479170/les-coordonnées-du-destin