La gare était plongée dans une brume dense, un étoffe épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de une passerelle indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait régulier, observant l’immense machine d’acier perdre qui sifflait lentement, prête à https://elliotpcjno.blogrelation.com/40116386/les-numéros-de-l-avenir