La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, seulement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau enliser où la mappemonde semblait paraître. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une description. Une intensité https://archerluycn.weblogco.com/33968965/les-parole-du-jardin-suspendu