L’étranger errait dans les ruelles du carnaval en permanence, suivant les apparences colorés qui semblaient figés dans un castes d’oubli hypnotique. Chaque jambes dansait avec bonne humeur, sans jamais s’arrêter, tels que s’ils étaient pris dans une crochet temporelle avec lequel personne ne se souvenait l’origine. Il se demandait combien https://tituslgysj.blogs100.com/34302149/l-effacement-progressif