Le vent hurlait via les hautes meyzieu de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite amphithéâtre de épreuve, un moine s’éclairait à la lumiere vacillante d’une chandelle. La caisse était emplie de l’odeur du parchemin familial et de l’encre https://voyance-par-mail-sans-pho81479.fireblogz.com/65103360/l-encre-du-destin